Suites 4, 5 et 6
N’est-ce pas un terrain extraordinaire, une idée bien exaltante que cette somme de musique pour un instrumentiste seul, partagée par tant de doigts, de mains, de corps, d’esprits – par tant de violoncellistes ?
Une partition, paysage qui s’offre au regard – invitant chacun et tous ceux qui l’abordent à plus de connaissance, plus de liberté, d’âme et de vivacité – frappant paradoxe de ce qui est écrit et pourtant varie sans fin, de ce que l’on regarde seul et que l’on est tant à voir.